L'avocate de formation, a rapidement laissé la pratique du droit pour suivre les tournois de poker à travers le monde. «Il y a des gens à qui ce genre de vie (le travail de 9 à 5 en tailleur et talons hauts) convient, mais moi j'ai besoin de davantage de liberté», explique-t-elle.
Pendant cinq ans, et jusqu'à maintenant, c'est dans ses deux grosses valises qu'elle a vécu, allant d'hôtel en hôtel pour jouer au poker.
«Je veux aussi, avec le livre, encourager les gens à suivre leur rêve. C'est leur seule responsabilité et je trouve qu'il y a beaucoup trop de gens qui ne sont pas responsables», estime-t-elle.
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